Montréal : vers une interdiction du plastique à usage unique dès 2020 ?
Juillet 2019
Laurence Lavigne Lalonde, nouvelle responsable de la transition écologique et de la résilience au comité exécutif de la Ville de Montréal, a annoncé le 25 avril dernier la volonté de la municipalité d’adopter en 2020 un règlement interdisant le plastique à usage unique. L’élue souligne que le plastique coûte cher à produire, à recycler et pollue les océans. La Ville de Montréal estime le délai d’adoption raisonnable pour déterminer ce qui pourrait être interdit et ne souhaite pas aller trop vite afin de ne pas pénaliser les commerçants, qui seront les premiers touchés par cette mesure.
L’administration Plante confiera au service de l’environnement le soin de préparer le règlement, qui fera l’objet de consultations publiques menées par la Commission sur l’eau, l’environnement et le développement durable en vue d’une entrée en vigueur au printemps 2020. Les élus de Projet Montréal ont dans leur collimateur les contenants, tasses, gobelets en plastique ou en styromousse ainsi que les pailles et ustensiles jetables. Toutefois, le sort des bouteilles d’eau et autres contenants de plastique sera fort probablement abordé lors des consultations publiques.
Les détaillants sont prêts à faire leur part pour réduire l’utilisation de plastique, mais encore faut-il que des alternatives écologiques, pratiques et abordables soient disponibles pour qu’ils puissent se conformer à la réglementation. Plusieurs États canadiens, nord-américains et européens se sont engagés dans la même direction, mais aucune réglementation n’est encore en application. Un dossier dont on n’a pas fini d’entendre parler…
L’administration Plante confiera au service de l’environnement le soin de préparer le règlement, qui fera l’objet de consultations publiques menées par la Commission sur l’eau, l’environnement et le développement durable en vue d’une entrée en vigueur au printemps 2020. Les élus de Projet Montréal ont dans leur collimateur les contenants, tasses, gobelets en plastique ou en styromousse ainsi que les pailles et ustensiles jetables. Toutefois, le sort des bouteilles d’eau et autres contenants de plastique sera fort probablement abordé lors des consultations publiques.
Les détaillants sont prêts à faire leur part pour réduire l’utilisation de plastique, mais encore faut-il que des alternatives écologiques, pratiques et abordables soient disponibles pour qu’ils puissent se conformer à la réglementation. Plusieurs États canadiens, nord-américains et européens se sont engagés dans la même direction, mais aucune réglementation n’est encore en application. Un dossier dont on n’a pas fini d’entendre parler…